Je vais partager mes poemes avec vous
Et si j'étais cet oiseau, élégant et majestueux.
Un ange des nue, un oiseau des cieux.
Et si j'étais cet étoile, illuminant le firmament.
Un soleil de joie qui brillera éternellement
Et si j'étais un cœur, qui bat d'amour et de passion
Un cœur d'or, d'argent, un cœur d'âme et sans raison
Et si j'étais moi, banale et plein d'intérêt, plein de haine et amoureux
moi, jeune et pourtant si vieux, moi triste et pourtant heureux.
Mais je ne suis pas cet oiseaux, ni cet étoile ni ce cœur.
Je ne suis pas ange, ni soleil, ni flammes de passion ou d'ardeur.
Je ne sais si je suis moi, banal ou heureux, triste ou amoureux.
Ne sais si j'espère ou si j'abandonne, si je suis combler ou désireux.
La vie n'offre qu'une certitude, une seule vérité, une seule réalité.
Si l'on peut dire savoir, alors c'est que la mort est notre destinée.
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Je ne suis ni entouré, ni accompagné, juste encerclé.
Je ne suis pas demandée ou désiré, juste utilisé.
Je suis seul dans la foule, innombrable dans ma solitude.
Mille peine dans mon cœur, et mon âme déchirée par l'inquiétude.
Lunatique peut-être, seul certainement, perdu sans aucun doute.
Mais même sans confiance, ou certitude on ne peu que continuer notre route.
Même sans étoiles dans le ciel, que la lune se cache ou que le soleil se couche a l'horizon.
Je ne peux qu'avancer, entouré d'ombres, me leurrant de sentiment et d'illusions.
Illusions qui m'inspirent maux et douleur, sentiments qui me déchire âme et cœur.
Est-ce cela la vie que l'on chante et que l'on béni, une vie qui nous tourmente a chaque heure?
Est-ce la l'amour que l'on prie, que l'on cherche? Et qui nous déchire lorsqu'enfin il est trouvé?
Bien de question, peu de réponses, et pourtant, l'on continu, sans s'arrêter, sans jamais reculer.
J'aime et je Hais.
Je Hais de tout mon cœur
J'aime de toute mon âme.
Je me consume sous la douleur
Dans les flammes de mon bonheur
c'est cela la vie.
C'est cela la fatalité.
Éteignez les lumières.
Que les ténèbres emporte.
Ce monde qui me promet sans offrir.
Et qui m'ont offre sans me demander.
Ce mon qui me déchire.
En faisant mine de me sauver.
Éteignez les lumières.
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Je suis une âme solitaire, errant entre les limbes et le ciel.
Une ombre unique, dans une débauche de lumière de soleil.
Je suis cette étoile solitaire perdu dans le firmament obscure.
Ce sourire égaré, qui traverse une vie cruelle et si dure.
Sur un chemin parsemé de rose, recouverte d'épines et de ronces.
Je marche sans m'arrêter, sans éprouver de peur, n'en serait-ce qu'une once.
Pourtant dans mon sillage, ne reste que sang et insoutenable douleur.
Mon passé, aussi incertain que mon futur, scintille d'une obscure lueur.
C'est cela qu'est mon destin, que j'appellerai plutôt cruelle fatalité.
Cela qu'est mon chemin, un périple au allure d'une dramatique épopée.
Tout n'est pourtant pas ténèbres, car cette petite lueur au loin me guide.
Une lueur qui m'attire, et qui pourtant me rappel la mort et ses nombreuse ride.
Et pourtant j'offre a la déception et a la traitrise du destin un sourire
Je défie la fatalité et la douleur de mes désirs avec mes rires.
C'est cela ma philosophie, je n'offrirai pas l'autre joue quoiqu'il en soit.
Juste l'ignorance et le désintérêt, car il ne sert d'offrir plus que l'on ne reçoit.
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Telle deux roses, l'une de sang, l'autre de ténèbres qui me hante.
Telle deux reflets, si semblables et pourtant affreusement différentes.
Reflets d'une vie, deux face d'une pièce, la vie dans sa fragile éphémérité
Et la mort, majestueuse et lugubre, avançant drapée de sa morbide éternité.
Deux roses dont les pétales se mélanges et se sépares dans leur destinées.
Se mélanges sans pour autant se ressembler, se sépare sans jamais s'oublier.
Deux faces qui s'ignore en restant a jamais cote a cotes, a jamais liée.
La vie douce et cruelle qui enlace la mort éternelle mais méritée.
Cette pièce sur la quelle pèse toutes nos attentes, toutes nos espérances.
Qui a chaque aurore est lance, jouée, usant notre temps, notre chance.
Et vient le jour ou les pétales sombre obscurcissent notre horizon.
Ou l'éternité brise le fragile équilibre, fauchant a foison sans raison.
Alors jouez votre jeu, lancez votre pièce, et si la Vie vous offre un sourire.
Peut-être la Mort attend-elle son heure, pour cruellement vous saisir.
Qu'elle que soit les pièces, quelle que soit les temps, il y aura toujours deux face.
Alors pile ou face? Vivre ou Mourir? Fermez les yeux, et jouez sans laisser de trace.
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Nous ne somme que des fou se croyant couronnés.
De simple pierres dont l'esprit se croit lune ou étoile.
Nos chemins guidés par l'illusion, l'espoir la naïveté.
Nous mènes sur des radeaux errants sans rames ni voile.
Espoir est notre fidèle compagne, au près de Larmes et de Colère.
Notre navire ayant pour rame Illusion et pour voile Déception.
Le vent nous soufflant rêveries et échec nous servant de mer.
Naviguons donc sur cet étendue de douleur, cet océan d'abandon.
Et lorsqu'une terre envahie notre horizon, nous criant amour et amitié.
L'on ne se doute que derrière ce paradis se cache douleur et trahison.
Traitrise n'ayant pour seule amie que mensonge, brise corps et pensée.
Laissant a nos cotés Surprise puis Colère et la cruelle Appréhension.
Alors qu'Espoir nous a détruit on découvre Désespoir et Frustration.
Deux amis bien singuliers qui nous présentent Solitude et Rancune.
Mais Amitié revient nous offrant promesse et demandant pardon.
Alors Illusion et Espoir renaissent nous rappelant nos douloureuse lacunes.
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I am the sole star in the sky
Sorrow and Sadness are my life style
I aim for the moon but I live for the sun
I have to fight the world but only want to run.
Give a meaning to my miserable life
Is as hard as fighting a lion with a knife
But what to do when you want to survive
Than fight back and challenge the Reaper.
I am the master of my will
And my will is my sole master
I want to be the one that draw my road
To be the one that chose my goal
I wont fell lower than what’s needed
I won’t be the junk that need to be treated
Always straight always proud
Like the sun that rise again and again
I aim for the summit
But my real goal is the journey
To travel through obstacles
To overcome my bonds and your expectations
My policy is sharp and hard
I may cry, I may suffer and bleed
But I will go on as far as I can
And lift the flag of my ambition and my will.
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While you turn your back to my expectations.
Sweeping my hopes and ripping my admiration
You rise in me hatred where there was Devotion.
You enjoy pushing me to my bounds
To make me turn around
You Make me fell lower than ground
But I won’t surrender, nor beg your attention.
I am the one to decide who you are to my person.
The one to decide to love or to seek for destruction.
You have trust in yourself, no doubt, no remorse.
I will show you defeat, make you taste the worst
For the end of your end, I will make you fear my resort.
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I’m Alone in the sky, flying high, soaring far away.
Surrounded, but so lonely, I’m the wolf in the plain.
I’m the moon in the sky, shining of a sorrowful light
I’m the sole drop of the rain, splashing and crying.
I’m Alone in the sky, flying high, wandering far away
Smiling to reassure me, laughing to lure me.
Trap after trap, I understand my mistake
Tears after tears my eyes slowly opened
I’m Alone in the sky, flying high, dreaming far away
Clouding my mind and injuring my soul
I keep on holding those imaginary hands
Asking foolishly their meaningless sheerings.
I’m Alone in the sky, flying high, drifting far away
I carry on counting on those ghosts
And you carry on feeding my hopes.
Disappear, shade in my tears, cuz’ I wanna be alone.
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La vie est une perte continue, un chemin plein de regret tous éternel.
Sans secondes chances toute les opportunités deviennent exceptionnelles.
Certes une étincelle éphémère et pourtant aussi intense que mille Soleils.
Elle regorge d’amour teinte de haine, la Vie est a jamais une question existentielle.
Elle est faite de rire, de joie et de peine, de larmes scintillante telle une lune argentée.
D’éclats d’amitié berçant les rêves et laissant s’épanouir une candide confiance.
Faite d’embuches et de revers elle ne permet que de mieux savourer nos rares trophées. ..
Elle guide nos chemins nous mettant aux prise avec le destin, non sans nous armer d’espérance.
Esperance née des flammes de nos cœurs, de nos courages et de nos caprices.
Un destin pliant sous la force de nos volontés, menées par l’élan de nos humeurs
C’est la, la force que nous offre la vie, une impulsion de changement salvatrice.
Une férocité qui n’a de limite que notre volonté, notre désir de finir vainqueur.
Nous sommes notre destiné, par nos victoires et nos nombreux revers
Nous sommes l’impulsions qui mène a l’accomplissement de nos rêves.
Nous sommes nos limites, les seules chaines qui entraves ces vers.
Nous sommes pris dans une bataille sans but, ni trêves.
Concept
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Pourquoi rire quand les nuages couvre mon soleil?
Pourquoi pleurer quand les étoiles déchirent mon ciel?
Je ne suis qu’un parmi plusieurs, dans la foule infinie.
Pourtant innombrables dans mon corps et mon esprit.
Je suis colère et pourtant sérénité, je suis ange non moins démon.
Je suis sagesse dans la fougue, je suis un sourire noyé de larme.
Je vis pour survivre, a travers regard et sermons.
Je survis pour un jour vivre, profiter de tes charmes.
Paradoxe ou ironie, je meurt pourtant a chaque éveil.
Déchiré, lacéré par la dure vérité, réalité sans compromis.
Ironie ou Paradoxe, Je m’éveil a travers mon sommeil.
Songeant aux chimère de demain, aux regrets d’aujourd’hui.
Et pourtant je sourit sans faillir, je pleure sans partager
J’enlace les épines sans siller ni m’écrouler
Je suis un géant aux pied d’argile, une brebis au cœur de lion.
Ecouter la liesse de ma chanson, voyer les larmes de ma lamentation.
Paradoxe
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Dans son château lointain, close dans une tour
Entourée de douve, du malin et sans amour
Ma princesse m’attend dans son donjon
Gardé par le puissant et cruel dragon
Sur mon étalon au manteau d’ébène
Armée de bravoure, chevalier sans haine.
Je m’en vais secourir, la princesse de mon cœur.
Armée de bravoure, chevalier sans peur.
Forets de périls et de dangers.
Je traverse sans faiblir sans siller.
Faim, froid, et solitude, pour seul compagnons
J’avance sans trembler, tel un bataillon.
Devant les douves et le malin, je levais la lame.
Laissant derrière moi, regret et peur dans l’âme.
Le dragon j’affrontais pour l’amour de ma belle.
La douleur, la souffrance, j’acceptais pour elle.
Cent jours et cent nuit, dura l’épique bataille.
Cent jours et cent nuits, sans laisser de faille.
Et au matin, la créature tomba.
Et au matin, la princesse fut a moi.
Allez preux bardes, allez preux poète.
Raconter par delà l’horizon ma fabuleuse quête.
Allez chanter, allez récitez, l’amour pour lequel j’ai tout donné.
Allez jouer, allez transmettre, la beauté, de celle que j’ai aimé.
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Quand je regarde le ciel, mon cœur se prend pour une étoile
Quand le vent se lève, ma peau croit être une voile
Quand la pluie se laisse choir, mon âme s’apaise de ses maux
Quand le soleil se lève, mes levres perdent tous leurs mots.
Mon ciel est son regard. Mes étoiles ses yeux.
Mon vent son sourire, qu’elle soit seule ou que nous soyons deux
Mes pluies sont ses larmes, qu’elles soient de peine ou de joie.
Mon soleil est sa joie, ses levres sur les miennes de tout leur poids.
Quand le futur bouscule mes pensées.
Que ma mémoire pleure mon passée.
Quand mon présent fuis le plaisir
Que mes journées perdent leur sourire.
Alors je n’ai plus pour seul Loisir
Que d’imaginer son rire
Je n’ai plus pour seul gaieté
Que d’écrire sa beauté
Son sourire
Est mon plaisir
Sa joie
Est ma voie
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Si vous voulez je pourrais aussi vous mettres des petites poesies en proses ^^
Sam 29 Mai - 16:00
Mais nous nous écartons encore du sujet... Bon chuuuuut Et Shri, si tu écris Dark Buttler sur google, sa marche aussi ^^